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Zéro artificialisation nette
Sur le terrain, il reste des réfractaires

Depuis sa consécration législative en 2021, l’objectif de sobriété foncière est entré dans les mœurs. Son appropriation par les élus locaux reste néanmoins complexe selon les territoires.
Caroline Reinhart | Le jeudi 1 mai 2025
«Certains élus se disent, avant les municipales et les sénatoriales de 2026: pourquoi engager une réforme coûteuse si les successeurs peuvent faire le boulot?» © shocky / Adobe Stock

En 2018, sa première apparition dans le plan Biodiversité de Nicolas Hulot avait déjà fait grand bruit. Consacré en 2021 par la loi climat et résilience – ajustée par une loi de 2023 (1) –, le ZAN suscite encore inquiétudes et polémiques. La plupart des élus locaux sont désormais engagés dans l’adaptation de leurs territoires à l’impératif écologique de lutte contre l’artificialisation des sols. Pourtant, sept ans plus tard, une future loi d’origine sénatoriale pourrait offrir à l’acronyme le plus visé du moment, un enterrement de première classe.

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